
Quelques portraits à Paris et à Chamoux
Il est parfois bien difficile de démêler les portraits réalisés à Chamoux, et ceux qui furent tirés à Paris, tantôt de Savoyards "exilés", qui venaient tout naturellement poser chez leur compatriote, tantôt de clients venus d'un peu partout en France… On faisait tirer plusieurs exemplaires de ces photos, souvent au format dit "carte de visite", on les échangeait avec des collègues, des voisins... puis les provinciaux rentraient au pays à l'heure de la retraite, avec leur moisson de photos d'amis. Aujourd'hui, des portraits de Chamoyards un temps parisiens s'échangent un peu partout en France dans les brocantes ! Mais on peut rarement les identifier. Cela arrive… |
à Paris (choix subjectif, très limité : beaucoup d'hommes et de femmes sur leur trente-et-un, plein d'enfants, de nombreux militaires, dans des uniformes parfois pleins de superbe, mais souvent un brin avachi.) |
![]() exposées à la vue des familles : elles sont un peu salies, pâlies… |
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à Chamoux Les clichés datent le plus souvent dans les années 1925-1939, mais Marius a continué un peu encore après-guerre. |
![]() (plaque recadrée, la gélatine est fragilisée sur un bord) |
![]() recherchée (son nom est gravé dans la gélatine) ![]() |
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Ci-dessus à gauche, M. Alaire |
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Marius Neyroud a continué longtemps encore à travailler à Chamoux : il était connu pour ne faire payer les gens… que s'ils le pouvaient. |
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![]() débuts professionnels de Marius Neyroud. ![]() |
![]() Henri B., pensif. |
![]() p.e.destinée au fils soldat ![]() leurs 2 premières filles: Geneviève, Jacqueline. M. Bourgeois était chauffeur du car Franchiolo Chamoux-La Rochette-Chambéry (2 AR/jour). Mme Bourgeois, originaire du S-O, élevait des oies qu'elle gavait (pour le foie gras) |
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